Utiliser la théorie des réseaux sociaux pour explorer le risque nutritionnel dans les logements communautaires personnes âgées au Canada

Année :

2020

Demandeur :

Donnelly, Catherine

Stagiaire :

Mills, Christine

Établissement :

Université Queen’s

Courriel :

catherine.donnelly@queensu.ca

Numéro de projet :

2104008

État d’avancement du projet approuvé :

Actif

Résumé du projet

Le tiers des Canadiens de plus de 65 ans qui vivent dans la collectivité (c’est-à-dire qu’ils ne vivent pas dans un foyer de soins de longue durée ou ne sont pas hospitalisés) sont exposés à un risque nutritionnel accru, c’est-à-dire à un faible apport en aliments et en boissons. Les conséquences de l’augmentation du risque nutritionnel comprennent une fragilité accrue, une diminution de la qualité de vie, une augmentation des hospitalisations et des taux de mortalité plus élevés. De nombreux changements aux réseaux sociaux se produisent avec le vieillissement qui peuvent affecter l’apport alimentaire et donc le risque nutritionnel, comme la situation de vie, la participation à des activités communautaires et le soutien. Bien qu’il y ait eu de nombreuses études examinant les facteurs des réseaux sociaux associés à l’état de risque nutritionnel, il y a un manque d’études sur les facteurs des réseaux sociaux associés aux changements dans le risque nutritionnel. Cette étude vise donc à découvrir les facteurs de réseaux sociaux associés au risque nutritionnel et aux changements dans le risque nutritionnel à l’aide des données de l’Étude longitudinale canadienne sur le vieillissement.