L’Association canadienne de gérontologie honore des chercheurs de l’ÉLCV

Friday, Novembre 6, 2020

La contribution de deux chercheurs de l’ÉLCV à la recherche sur le vieillissement a été reconnue par l’Association canadienne de gérontologie (ACG).

La Dre Verena Menec, chercheuse principale du site de l’Étude longitudinale canadienne sur le vieillissement (ÉLCV) au Manitoba, a été nommée membre émérite de l’ACG. Cette nomination souligne son dévouement à l’amélioration de la vie des aînés canadiens.

En plus d’être professeure au Département des sciences de la santé communautaire au Rady College of Medicine et anciennement directrice du Centre de recherche sur le vieillissement de l’Université du Manitoba, elle a joué un rôle déterminant à plusieurs égards au sein du mouvement mondial en faveur des aînés, et ce, dès ses débuts à l’Organisation mondiale de la santé. Au Manitoba, elle a dirigé une vaste étude de groupe qui a finalement mené à la création d’un cadre pour les initiatives de collectivités-amies des aînés dans la province, un travail qui se poursuit à ce jour.

Ses recherches portent principalement sur le vieillissement en santé et ses déterminants, sur l’isolement social et la solitude ainsi que sur les collectivités-amies des aînés comme moyen de promouvoir le vieillissement en santé. Elle étudie actuellement les répercussions de la COVID-19 sur les aînés isolés.

Le Dr Theodore Cosco, co-chercheur principal du site de l’ÉLCV à l’Université Simon Fraser, a reçu le Prix de l’ACG du nouveau chercheur en reconnaissance de ses recherches sur la santé mentale et le vieillissement. Le Dr Cosco est professeur adjoint au département de gérontologie de l’Université Simon Fraser et directeur associé du Centre de recherche en gérontologie de l’Université Simon Fraser.

Ses intérêts de recherche comprennent une variété de sujets liés au vieillissement en santé et à la santé mentale, notamment le bien-être, la résilience, l’isolement social et la solitude. Ses recherches visent à étudier les impacts négatifs d’une mauvaise santé mentale au sens large, mais aussi dans le contexte de la pandémie de COVID-19.