25 000 participants : l’ÉLCV est à mi-chemin de son objectif de recrutement

Sunday, Mai 12, 2013

Avec plus de 25 000 participants d’un océan à l’autre, l’Étude longitudinale canadienne sur le vieillissement (ÉLCV) a franchi une nouvelle étape en recrutant la moitié de son objectif de recrutement total de 50 000 participants.

« Le recrutement de 25 000 participants est un bel accomplissement, affirme Parminder Raina, chercheur principal de l’ÉLCV et professeur à l’Université McMaster.  Cette étape importante n’aurait pas été possible sans le dévouement des participants qui ont donné de leur temps précieux pour que l’étude soit un succès et pour nous aider à mieux comprendre le processus de vieillissement. »

La contribution des 50 000 hommes et femmes âgés de 45 à 85 ans au cours des 20 prochaines années est ce qui pousse l’ÉLCV à avancer. Ces personnes soutiennent le travail de collecte de données en donnant de leur temps lors des entrevues téléphoniques et en personne, ainsi que lors de visites aux Sites de collecte de données grâce à des examens physiques et la collecte d’échantillons de sang et d’urine. Dans ses onze Sites de collecte de données situés dans des universités et instituts de recherche partout au Canada, l’ÉLCV recueille des informations sur le fonctionnement des participants en matière de santé physique, émotionnelle et sociale.

« L’ÉLCV a le potentiel non seulement de nous en dire plus sur les répercussions des maladies et de la longévité, mais aussi de contribuer à la prise de décisions éclairées à propos de la prestation de soins de santé, de la vie autonome et de l’indépendance des personnes âgées, ajoute Susan Kirkland, co-chercheure principale et professeure à l’Université Dalhousie. Le recrutement de 25 000 participants est une grande réussite pour toute l’équipe de l’ÉLCV. Cette étude a la capacité d’aider de nombreuses générations futures. »

L’ÉLCV réunit une équipe de plus de 160 chercheurs et collaborateurs de partout au Canada. Le financement de l’étude provient des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) et de la Fondation canadienne pour l’innovation, ainsi que des gouvernements provinciaux et des partenaires institutionnels.

« Nous remercions également l’équipe exceptionnelle de l’ÉLCV partout au pays qui a travaillé de longues heures pour démarrer l’étude. L’atteinte de cet objectif majeur est la preuve du travail acharné de notre personnel et de nos chercheurs, ajoute Christina Wolfson, co-chercheure principale de l’ÉLCV et professeure à l’Université McGill. Cet accomplissement n’aurait évidemment pas été possible sans le soutien de nos bailleurs de fonds et des partenaires de l’ÉLCV. »